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La colonne du Congrès (en néerlandais : Congreskolom) à Bruxelles est une colonne commémorative conçue par l’architecte Joseph Poelaert. Elle a été édifiée à l’initiative de Charles Rogier, entre 1850 et 1859, en commémoration du Congrès national de 1830-31. En 1920, on a installé à son pied le tombeau du Soldat inconnu à la mémoire des soldats belges morts durant la Guerre 1914-1918. Inspirée de la colonne Trajane, elle commémore le Congrès national de 1830 qui rédigea la Constitution belge. Le monument, d’une hauteur totale de 47 mètres, contient un escalier intérieur hélicoïdal de 193 marches. Elle est surmontée d’une statue de 4,70 mètres de haut, représentant le premier roi des Belges, Léopold Ier, œuvre du sculpteur Guillaume Geefs. Sur le socle, sont gravés les grandes dates de l’indépendance, les noms des membres du Congrès et ceux des membres du Gouvernement provisoire constitué après la Révolution belge, ainsi que les grands principes de la Constitution. Quatre hautes figures féminines, œuvres de différents sculpteurs, symbolisent les Libertés fondamentales garanties par la Constitution, la Liberté des cultes (Eugène Simonis), la Liberté d’association (Charles-Auguste Fraikin), la Liberté de l’enseignement et la Liberté de la Presse (toutes deux de Joseph Geefs7). C’est à la Fonderie Royale des Canons de Liège, sous la direction du fondeur français Victor Thiébaut, que furent coulés les bronzes de la statue de Léopold Ier et celles de la Liberté des Cultes, d’Association et de Presse8. Deux lions monumentaux, œuvres de Eugène Simonis sont placés à l’avant du monument. Lors de l’inauguration du monument, en septembre 1859, ceux-ci ne sont encore que des réalisations provisoires en plâtre, qui seront retirées peu après. Les lions définitifs ne seront coulés qu’ensuite par la Compagnie des Bronzes de Bruxelles, et installés en décembre 1864. Le sculpteur, contrairement aux recommandations de la Commission des monuments, les a représentés debout, et curieusement marchant à l’amble, ce qui n’est pas naturel pour un félin.Colonne du Congrès — Wikipédia

Médaille Belgique Inauguration de la colonne du Congrès 1859 Léopold Ier, 1859

Catégories

89,90 

Disponibilité : En stock

Date

1859

Graveur

Léopold WIENER

Métal

Bronze

Poids

227, 0 g

Taille

85 mm

Tranche

Lisse

Poinçon

Sans

Ecrin

Oui

État de conservation

Voir le thème

Description

Médaille en Bronze de 1859, Inauguration de la colonne du Congrès, gravé par L. Wiener, en superbe état.

AVERS
Léopold ier roi des Belges. Tête nue de Léopold Ier à g. Signature: Léopold Wiener F.

REVERS
Inauguration de la colonne du Congrès en légende circulaire, à l’exergue: Sept: 1859 et signature: Léopold Wiener F.
Quatre figures féminines représentant les libertés : enseignement, culte, presse et association. A l’arrière-plan, la colonne du Congrès.

Commentaire

Médaille avec légères traces d’usure sur les parties hautes, quelques petits coups sur la tranche, vendue avec sa boîte en cartons en bon état.
La colonne du Congrès (en néerlandais : Congreskolom) à Bruxelles est une colonne commémorative conçue par l’architecte Joseph Poelaert. Elle a été édifiée à l’initiative de Charles Rogier, entre 1850 et 1859, en commémoration du Congrès national de 1830-31. En 1920, on a installé à son pied le tombeau du Soldat inconnu à la mémoire des soldats belges morts durant la Guerre 1914-1918. Inspirée de la colonne Trajane, elle commémore le Congrès national de 1830 qui rédigea la Constitution belge. Le monument, d’une hauteur totale de 47 mètres, contient un escalier intérieur hélicoïdal de 193 marches. Elle est surmontée d’une statue de 4,70 mètres de haut, représentant le premier roi des Belges, Léopold Ier, œuvre du sculpteur Guillaume Geefs. Sur le socle, sont gravés les grandes dates de l’indépendance, les noms des membres du Congrès et ceux des membres du Gouvernement provisoire constitué après la Révolution belge, ainsi que les grands principes de la Constitution. Quatre hautes figures féminines, œuvres de différents sculpteurs, symbolisent les Libertés fondamentales garanties par la Constitution, la Liberté des cultes (Eugène Simonis), la Liberté d’association (Charles-Auguste Fraikin), la Liberté de l’enseignement et la Liberté de la Presse (toutes deux de Joseph Geefs7). C’est à la Fonderie Royale des Canons de Liège, sous la direction du fondeur français Victor Thiébaut, que furent coulés les bronzes de la statue de Léopold Ier et celles de la Liberté des Cultes, d’Association et de Presse8. Deux lions monumentaux, œuvres de Eugène Simonis sont placés à l’avant du monument. Lors de l’inauguration du monument, en septembre 1859, ceux-ci ne sont encore que des réalisations provisoires en plâtre, qui seront retirées peu après. Les lions définitifs ne seront coulés qu’ensuite par la Compagnie des Bronzes de Bruxelles, et installés en décembre 1864. Le sculpteur, contrairement aux recommandations de la Commission des monuments, les a représentés debout, et curieusement marchant à l’amble, ce qui n’est pas naturel pour un félin.Colonne du Congrès — Wikipédia

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